335 shaares
13 résultats
taggé
low-tech
Earlier this year we’ve been asked to help redesign the website of lowtechmagazine.com. The primary goal of the redesign was to radically reduce the energy use associated with accessing their web content. At the same time it is an attempt to find out what a low-tech website could be.
A collection of web pages weighing in less than 1MB
Hundred Rabbits is a small artist collective. Together, we explore the planned failability of modern technology at the bounds of the hyper-connected world. We research and test low-tech solutions and document our findings with the hope of building a more resilient future.
didder is an extensive, fast, and accurate command-line image dithering tool. It is designed to work well for both power users as well as pipeline scripting. It is backed by my dithering library, and is unique in its correctness and variety of dithering algorithms. No online or offline tool I know of provides as many options, while being correct (linearizing the image, weighting channels by luminance).
Dans les sociétés de consommation modernes comme dans les pays en développement, l’internet sans fil est en progression. Mais si les pays riches mettent l’accent sur la connectivité permanente et l’augmentation continuelle des débits, les pays pauvres, eux, accèdent à l’internet via des réseaux nettement plus rudimentaires et souvent asynchrones.
Alors que l’approche « haute technologie » ou « high-tech » tire les coûts et la consommation d’énergie toujours plus haut, les solutions de faible technicité ou « low-tech » permettent d’obtenir des réseaux beaucoup moins onéreux, à fort rendement énergétique, adaptés aux énergies renouvelables et résistants aux perturbations.
Les technologies de réseau alternatives offrent des solutions intéressantes, dont on peut s’inspirer pour donner un accès à l’internet lorsque les ressources énergétiques sont limitées. Leur atout majeur réside dans le fait qu’elles peuvent être mises en œuvre sans attendre la contribution de l’État ou des entreprises : en coopérant tous ensemble, nous pouvons construire une infrastructure de communication robuste. En témoignent les différents réseaux communautaires construits en Europe, dont le plus grand affiche déjà plus de 35 000 utilisateurs.
Alors que l’approche « haute technologie » ou « high-tech » tire les coûts et la consommation d’énergie toujours plus haut, les solutions de faible technicité ou « low-tech » permettent d’obtenir des réseaux beaucoup moins onéreux, à fort rendement énergétique, adaptés aux énergies renouvelables et résistants aux perturbations.
Les technologies de réseau alternatives offrent des solutions intéressantes, dont on peut s’inspirer pour donner un accès à l’internet lorsque les ressources énergétiques sont limitées. Leur atout majeur réside dans le fait qu’elles peuvent être mises en œuvre sans attendre la contribution de l’État ou des entreprises : en coopérant tous ensemble, nous pouvons construire une infrastructure de communication robuste. En témoignent les différents réseaux communautaires construits en Europe, dont le plus grand affiche déjà plus de 35 000 utilisateurs.
PDF à télécharger
Depuis les années 2000 et la massification des « high tech », le monde a indubitablement changé de visage. Alors qu’elles sont présentées comme facilitant le quotidien, les technologies numériques posent de nouveaux problèmes en termes d’accès aux droits, de justice sociale et d’écologie. Consommation énergétique, extractivisme, asservissement des travailleur·ses du « numérique », censure et surveillance généralisées, inégalités face au numérique… autant de domaines dans lesquels les outils que nous utilisons, individuellement et collectivement, pèsent sur l’organisation des sociétés et sont au cœur de débats de vitale importance.
Depuis les années 2000 et la massification des « high tech », le monde a indubitablement changé de visage. Alors qu’elles sont présentées comme facilitant le quotidien, les technologies numériques posent de nouveaux problèmes en termes d’accès aux droits, de justice sociale et d’écologie. Consommation énergétique, extractivisme, asservissement des travailleur·ses du « numérique », censure et surveillance généralisées, inégalités face au numérique… autant de domaines dans lesquels les outils que nous utilisons, individuellement et collectivement, pèsent sur l’organisation des sociétés et sont au cœur de débats de vitale importance.